La saison qui vient de se terminer vec le championnat convainquant des "Marteleurs" d'Oslo a été fertile en émotions de toutes sorte et se terminera avec le gala de remise des prix aux différents meneurs de la ligue, avant de recommencer quelques semaines plus tard avec le repêchage universel.

Les joueurs étant maintenant, pour la plupart, remis des lendemains de veille. Les uns dans l'euphorie de la victoire, les autres de l'amertume de la défaite, sans compter les habitués de l'habitude, il est maintenant temps pour la Nomenclatura de déterminer qui touchera les plus gros bonis.

Votre humble serviteur se mouille et y va de ses propres prédictions et coups de coeur dans un exercice futile mais combien agréable, autour de la piscine, en compagnie de Pina et Colada, ses deux chihuahua albinos.

Mvp, mvp M.V.P.
Sans appel. Il aura bien eu quelques poussées remarquées des vétérans Talachuk et McLouis (qui restera toujours un mystère médicalement inexplicable) Mais le jeune Cridlyn, à New York, qui avit éclos de façon remarquable l'an passé, est devenu une machine extraordinaire à produire des buts. Record de points, record de buts, record de +/-, 3e pour les tirs au buts, 39 buts en avantage numérique et 6 autres en désavantage. La liste continue, mais ce qui précède est normalement suffisant pour établir sa domination.

Il faut rappeler que le club NewYorkais, établi parmi les favoris en début de parcours, décevait drôlement jusqu'au match des étoiles. C'est là que Cridlyn, déjà dominant, a enlever le "cruise control" dans une sortie publique, il avait secoué les puces des ses coéquipiers en les sermonant aux yeux de tous. Normalement, un tel geste aurait pu coûter cher à n'importe qui, mais c'était sans compter sur la force de caractère du jeune homme, s'emparant de la tête des pointeurs de façon définitive et ajoutant au passaege une demi-tonne de buts gagnants. Seule ombre au tableau: il n'a pu ramener à lui seul la coupe Pabst. Faisant l'objet d'une surveillance accrue, il a été menotté plus souvent en série que dans toute la saison. La perte de Kenechuk n'a pas aidé, mais la situation a permi à Nille Duffy de briller à son tour, et de sortir de l'ombre du Tank du Bronx.

Voyons maintenant la grosseur de contrat que le jeune saura soutirer aux dirigeant de la Grosse Pomme...et des différents commanditaires qui seront à ses pieds!