Quel revirement à New York! Depuis la pause des étoiles, où Jeremy Cridlyn s'est imposé comme l'étoile parmi les étoiles, la troupe de Johnny Santino, tirée par la locomotive Cridlyn, affiche un dossier de 17-2-1. Cridlyn lui-même ayant ralenti avant la pause, s'est inspiré de sa performance à la classique annuelle pour afficher une constance digne d'un métronome et fracasser le plateau des 50 buts en 58 matches. L'addition des Hazard, Pevsher, Bélanger et Jangle a porté fruit alors que leurs débuts avaient posés quelques problèmes d'adaptation et Carl Oak a recommencé a garder le fort comme il en est capable. Soulignons aussi que la sortie en règle dans les médias du directeur général aura réussi à secouer les puces de la bande de Manhattan.

Cependant, des blessures aux vétérans Dave Lansing et Rick Pevsher pourraient nuire aux performances de l'équipe à court terme, la profondeur en défensive du club restant fragile. On pense au robuste Sheldon Breadner qui, s'il a prit de l'expérience, reste un joueur surévalué et un brin irresponsable sur la surface glacée ainsi qu'au vétéran devenu boulet depuis qu'il a sombré dans l'alcool, Stan Bacardi, qui devra sortir un chapeau de son sac ou un lapin de son chapeau pour à tout le moins maintenir le bateau à flot, car si l'attaque reste d'aplomb avec la panoplie de vedettes entourant Cridlyn: Kenechuk, Hazard, Duffy, Roanoke, Tyutyutnikov, les arrières Akerstrom, Moodus et Thivierge ne peuvent apporter le support offensif nécessaire qui fait de cette formation un dangereux ennemi en avantage numérique.